Deux petits gifs anims pour montrer comment sélectionner un calque dans Clip Studio Paint.
Pour répondre à la question d’un collègue sur Twitter :
Tiens j’ai une question au passage, maître Grug. Comment fait-on pour que la flèche pour bouger les calques (V) (la flèche noire avec les flèches croisées) puisse sélectionner automatiquement le calque d’un morceau de dessin que tu cliques ?
Sous Photoshop, tu as juste à cocher « sélection automatique -> Calque ou dossier ». Là je ne trouve pas. Je suis pourtant à peu près sûr que ça marchait sous Manga Studio.
Nous jonglons souvent entre Photoshop et Clip StudioPaint et certains réflexes, certaines actions sont différentes.
La flèche pour déplacer les calques, par exemple sous Clip StudioPaint est accessible par le raccourci V sous Photoshop, K sous Clip StudioPaint.
Les raccourcis sont modifiables dans les 2 applications.
À partir d’un outil normal
(Genre plume P) un appui sur la touche cmd (sur Mac, probablement ctrl sur PC) cmd + un clic sur un élément du dessin sélectionne le calque sur lequel se trouve cet élément.
À partir de l’outil déplacement de calque
(K chez moi) cmd+maj + clic sur un élément du calque à sélectionner fonctionne. (idem, probablement cmd=ctrl sous Windows)
L’outil Opération
et ses sous-outils Object ou Layer selection (notons la qualité de la traduction en français…) sont aussi des options à envisager pour effectuer ce type d’action.
Trois choses à faire qui vont vous permettre de bien démarrer sur Clip Studio Paint, il s’agit là d’astuces techniques, de contournements de bugs (ou de mauvaises adaptations).
Clip Studio Paint est un logiciel de dessin, style Photoshop, mais orienté vers la production d’illustrations et de bandes dessinées, d’ailleurs son ancien nom est Manga Studio.
Prisé des professionnels dans le monde entier, il compte des outils très pratiques pour produire des BD, des mangas et même depuis peu des séquences animées.
Basé sur des brosses, des assistants (de perspective ou 3D ) des calques (bitmaps, vectoriels) c’est un logiciel à essayer, voir à posséder absolument si vous pratiquez le dessin de bande dessinée.
Décliné en 3 versions il est disponible à des prix abordables, de 40€ à 200€.
Je vous parle ici de la version EX, la plus avancée, que l’on trouve souvent en promotion aux alentours d’une centaine d’euros, ce qui est donné pour une application professionnelle de cette qualité. Il existe sous Mac, Windows et iPad.
Ce logiciel japonais et multiplateforme (mac, windows) peut être parfois un peu déroutant, et demande un peu de pratique avant d’être maitrisé. Rien de rébarbatif cependant, les avantages qu’il y a à utiliser cet outil étant énormes, et une riche documentation en ligne existe (souvent en anglais).
Ce logiciel japonais, traduit dans de nombreuses langues, ne sait pas, en tout cas sur mac et ipad ( cela semble fonctionner correctement sous Windows) qu’il existe d’autres claviers que le clavier QWERTY…
Ainsi si vous utilisez des raccourcis clavier standards, sur un clavier AZERTY, vous allez quitter le logiciel alors que vous vouliez tout sélectionner, ou fermer la fenêtre alors que vous vouliez annuler.
Heureusement, tous les raccourcis clavier sont configurables, il vous faut donc aller dans les préférences (Paramètres de raccourcis du menu Clip Studio Paint) puis de configurer les raccourcis avec A, Q, Z, W, M… etc. Bref, ceux qui posent problème à vos réflexes.
L’écran secondaire
Clip Studio Paint s’utilise avec une tablette graphique, dans l’idéal avec une tablette-écran de type Cintiq.
Dans le cas d’une Cintiq, ou de double écran, pour éviter qu’un certain nombre de bugs (légers, mais qui peuvent être agaçants) d’affichage de l’interface ne se produisent (par exemple la barre d’outils horizontale passe sous les panneaux latéraux en cas de redimensionnements) il faut configurer cette tablette-écran, ou l’écran sur lequel s’affiche la fenêtre principale de Clip Studio Paint, comme écran principal de votre ordinateur.
Sous Mac, cela consiste à ouvrir le panneau Moniteur des préférences système, et à glisser l’image de la barre des menus sur l’écran que vous voulez principal. Sous windows la question ne se pose pas, l’application s’affichant dans une fenêtre unique.
L’éditeur de texte
Je crois que l’éditeur de texte, dans sa version complète, n’est présent que dans la version EX.
Un peu difficile à appréhender, et comportant quelques bugs pour nous utilisateurs d’alphabet latin, ne nous en cachons pas, l’utilisation des outils textes de CSP reste quand même vraiment intéressante. Un exemple : le texte « suit » les bulles : le texte peut être lié à la bulle, et être redimensionné en même temps.
Il y a surtout un module, qui m’est maintenant indispensable pour une histoire de plus d’une page, qui permet de gérer entièrement les textes d’une histoire : l’éditeur d’histoire.
Au format texte, il permet d’importer, en une passe, tous les dialogues d’une histoire, et par la suite une fois que les dialogues sont mis en bulles, il permet de corriger ou de changer le texte des bulles. Bref un outil génial.
Mais, sans doute dû aux origines japonaises de CSP, un petit bug subsiste et survit. Il arrive (c’est un bug) que, sur une nouvelle histoire, si l’on essaye d’entrer du texte par l’éditeur de texte sans avoir préalablement disposé un petit bout de texte dans la page celui-ci s’insère à la verticale ( même si les réglages sont corrects dans le logiciel).
L’astuce consiste donc à placer normalement dans la première page, avec l’outil texte, un petit bout de texte, puis à coller le reste par l’éditeur d’histoire.
Un outil indispensable
Une fois réglés les 3 points ci-dessus, Clip Studio Paint est un outil génial, avec lequel j’ai déjà réalisé plusieurs albums édités. Vous pouvez voir des exemples de mon utilisation de Clip Studio Paint en suivant ma chaine YouTube sur laquelle je poste régulièrement des vidéos Work in Progress. Vous pouvez aussi me retrouver parfois sur Twitch (en général, je l’annonce sur Twitter).
Je travaille sur Mac, il est possible que certains bugs évoqués ici ne se produisent pas sous Windows ↩
Les débuts d’années sont toujours propices aux billets catalogues, bilans, tops, listings et autres setups. Mes 5 applications préférées, mon top 2018, the top of the tops, mes 10 meilleures apps… Pourquoi déroger à cette règle, sincèrement j’adore ça. Voici donc mon setup 2018, en plusieurs billets.
Pour commencer cette série, démarrons tout en haut de mon Mac :
Dans la barre des menus :
Tout d’abord une application utile pour ranger toutes les autres. : Bartender
Bartender 3 est une application qui permet de ranger sa barre des menus quand on a trop d’éléments dedans. En effet si certains menuets nécessitent d’être sous nos yeux en permanence, certains autres n’ont besoin d’être accessibles qu’occasionnellement, ou sont liés à des programmes accessibles par d’autres moyens. On peut donc les ranger dans une barre secondaire, accessible par un clic sur son icône, ou par des raccourcis clavier. On peut aussi configurer les applications pour quelle figure dans l’une, dans l’autre, dans les 2 ou dans aucune, rechercher. Bref un programme essentiel si on un peu trop de menuets dans la barre des menus.
Barre principale (affichée en permanence)
istat menu est typiquement un élément que l’on doit avoir sous les yeux, c’est même l’essentiel de sa fonction. Il surveille les différents paramètres de l’ordinateur : disques, ventilateurs, mémoire, réseau, batterie etc. Il intègre même un menu calendrier, et l’heure qui vient remplacer l’horloge système (et aussi la météo, mais je n’utilise pas)
Copied, un gestionnaire de copier / coller extrêmement complet et efficace, et qui se synchronise parfaitement avec les appareils iOS aux alentours. Accessible par raccourcis je préfère l’avoir sous la main (J’utilise plus facilement Alfred pour la gestion rapide des copier / coller, Copied servant aux opérations plus complexes et d’échange avec iOS)
Dropbox. L’un des intérêts d’avoir l’icône de Dropbox en permanence sous les yeux, c’est qu’elle ne ment pas sur l’état de la connexion au réseau. Il nous est tous arrivé d’avoir l’icône de réseau de MacOs qui indique être connectée au Wifi sans que l’on ait accès à internet.
Monosnap est un logiciel de copie d’écran, avec un mini éditeur et des options d’export très sympathiques. Je l’utilise quotidiennement pour échanger dans mon domaine professionnel (pour rappel je dessine) il est souvent plus rapide et efficace d’envoyer des copies d’écrans des éléments sur lesquels ont veut échanger que de tenter des exports à des tailles variables. Il est gratuit (quelques options en achat in-app) et très complet, c’est surtout ce que J’ai trouvé de plus souple dans le domaine.
MailMate (qui n’est pas un programme destiné à la barre des menus, mais un puissant logiciel d’email) pose aussi dans la barre des menus des pastilles indiquant mes messages non lus, les messages épinglés et les messages d’une boite au lettre intelligente. Mailmate est vraiment un programme de mail très puissant.
Sip un “color picker” qui s’affiche là quand je le lance.
J’affiche aussi en permanence :
L’icône du wifi
le clavier (car sur un macbook portable, c’est utile de savoir en permanence la configuration du clavier)
les applications menuet temporaires (oui, je sais ça contredit le sous-titre) ou en test.
Dans la barre secondaire
là on trouve les applications auxquelles avoir un accès rapide est moins important, ou dont l’accès se fait par d’autres moyens (comme Alfred). J’y ai mis les menuet système Spotlight, Time machine et Bluetooth.
Alfred est un lanceur d’application et de tout un tas de trucs, il mérite à lui tout seul une série de billets.
nvALT, le logiciel de note/texte/markdown que j’utilise le plus. Aucun intérêt pour moi à l’avoir dans la barre des menus, il est lancé en permanence et j’ai configuré des actions Better Touch Tool pour y accéder.
BetterTouchTool est un utilitaire génial qui permet de configurer des actions au trackpad, des raccourcis clavier et des tas de hacks du genre. 2 exemples :
pour appeler la fenêtre de NvAlt, je place le curseur dans la barre des menus et descend avec 2 doigts, idem pour la faire disparaître.
beaucoup d’applications anglophones utilisent les raccourcis clavier cmd + un chiffre, et ne convertissent pas ces raccourcis en cmd + caractère accentué sur nos claviers AZERTY non étendus. Il va de soi que l’ajout de la touche majuscule ne fonctionne pas, un cmd+majuscule + 3 provocant, par exemple, une copie d’écran. Better Touch Tool Permet de reconfigurer cela application par application.
Better Touch Tool permet aussi de gérer les fenêtres d’osx mais pour ça j’utilise plutôt…
Divvy, un gestionnaire de fenêtre, que j’appelle par un raccourci clavier configurable (cmd + @ pour moi) et qui affiche une grille pour positionner la fenêtre de l’application en cours. C’est pour moi le système le plus pratique, surtout qu’il y a aussi moyen de configurer simplement des presets, appelables par raccourcis clavier configurables (cmd + @ puis cmd + & par exemple)
Keyboard Maestro sert à automatiser des actions ( Par exemple fermer telle application quand j’ouvre telle que, ou effectuer des actions répétitives, ou pleins d’autres choses encore, les possibilités sont vraiment vastes)
Hazel, que l’on retrouve aussi comme tableau de bord dans les préférences système, est un utilitaire qui permet de programmer des actions sur des fichiers, des dossiers des tags…
un exemple simple, quand un fichier.zip arrive dans mon dossier téléchargement : la fenêtre téléchargement s’ouvre, le fichier est décompressé, l’archive.zip est rangée dans un sous dossier contenant les.zip.
Un autre exemple : un fichier sur mon bureau est, au bout d’une heure, déplacé vers un dossier selon son type (une image jpg qui traîne sur mon bureau sera déplacée dans un sous dossier nommé imagebroll dans images)
ControlPlane est moins connu, mais très pratique sur un ordinateur portable. En fonction de contextes (réseau wifi, périphériques branché…) il permet de définir des préférences ( imprimante par défaut, économiseur d’écran…)
Usage est un petit utilitaire gratuit qui permet de surveiller le temps que l’on passe sur chaque application. Je pourrais utiliser timing, beaucoup plus complet, inclus dans Setapp, mais Usage suffit à mes usages.
Setapp : Setapp est un abonnement pour éviter les abonnements. Pour une dizaine d’euros par mois, on dispose d’un catalogue d’une soixantaine d’applications. J’ai eu la chance de gagner un abonnement d’un an sur l’excellent site Slice 42. J’avais pensé m’abonner, mais comme je possédais déjà plusieurs applications de ce catalogue… Bref c’est une option intéressante et ça me permet de tester quelques trucs. Dans cette sélection d’utilitaires certains sont inclus dans setapp ( sip, istatmenu…)
Adobe Creative Cloud : mon abonnement à Adobe Photoshop se gère de la barre des menus, mais pas tous les jours.
Typinator : un textexpander, gestionnaire de raccourcis. Alfred intégré une fonction similaire (le finder aussi), mais moins complète. J’accède à Typinator quand le besoin se fait sentir de retravailler mes raccourcis de texte, par raccourci clavier.
Yoink : un utilitaire pour stocker temporairement des extraits de texte, des images etc. Simple et efficace. (Raccourci clavier f5) il n’a aucun intérêt à être dans la barre des menus, il consiste en un dock ou l’on dépose des fichiers pour les avoir sous la main.
Default Folder X : encore un hack dont je ne peux plus me passer. Lors de l’enregistrement d’un fichier il permet un tas d’actions dans la fenêtre d’enregistrement… Dossiers favoris, récents, favoris par application, sélection de la fenêtre ouverte en arrière plan… trop long de tout détailler ici, mais vraiment pratique.
PopClip for Mac : une fois configuré avec des Applescripts et Alfred pour lui définir un raccourci clavier (Alfred permet de définir des double pressions sur une touche comme raccourci clavier) j’ai retrouvé le goût de cet utilitaire, qui permet, par exemple d’encadrer une sélection de texte de parenthèses (ou autre).
Dans cette seconde barre des menus on trouve donc des utilitaires utiles (sic) mais dont présence permanente dans la barre des menus est d’un intérêt limité.
Voilà ma (mes) barre des menus et les utilitaires qui la compose. La description de ce qu’ils font est sommaire et incomplète, c’est pourquoi j’ai mis les liens vers le site des éditeurs. Chacun d’eux mériterait un article complet. Il m’arrive d’en utiliser d’autres, et ce setup évoluera sûrement, mais il contient des fonctions essentielles qui correspondent bien à mes besoins.
N’hésitez pas à partager cet article, je pense qu’il pourrait faire gagner du temps à certains. 😉
Une astuce qui va me faire gagner pas mal de temps, et m’éviter bien des scripts :
avec Photoshop CC1 il est possible d’exporter ses calques (ou dossiers de calques formant une image) à differentes tailles (unités ou pourcentages), en png ou jpg, en jouant sur la qualité, dans differents dossiers ou sous dossiers, juste en les nommant.
J’adore !
Un color picker pour écran, compatible photoshop et illustrator.
Un piqueur de couleurs (traduction personnelle) pour écran sert à prélever une couleur n’importe où sur votre écran, souvent afin de la réutiliser dans une application, une image, ou une interface. Très utile pour identifier une couleur, la récupérer (d’une image dans le navigateur par exemple, ou n’importe où sur l’écran donc), la réutiliser.
Sip est un piqueur de couleurs disponible sur Mac App Store, jusqu’ici rien d’original. Activé, il présente une loupe permettant d’aller chercher la couleur d’un pixel (ou d’une zone de l’écran).
Sip, par rapport à ses concurrents présente plusieurs avantages :
Il couvre à peu près tous les formats de couleur connus (rgb, cmyk, Hex, HSL… une trentaine), affiche la valeur des couleurs, et leur nom (en anglais).
Il vient se loger dans la barre des menus, mais peut être appelé par un raccourci clavier configurable (Ctrl+Alt+p chez moi)
Dans la barre des menus, son historique, au nombre de couleurs configurable, supporte le drag&drop (on tire la couleur vers la palette couleur de l’application)
Des raccourcis claviers (cmd+clic) permettent d’envoyer directement les couleurs vers Photoshop, ou Illustrator en avant plan ou en arrière-plan (Alt+clic, tout ça configurable dans les préférences) ce que ne font pas la plupart de ses concurrents, qui souvent se contentent des applications compatibles avec la palette de couleur Apple.
On peut appeler la palette système, partager une couleur par mail, changer le format de couleur à la volée, etc.
Sip est donc le piqueur de couleurs le plus efficace et complet que j’ai essayé jusqu’à maintenant, encore une facilité dont j’aurais désormais du mal à me passer. Ah oui, il est gratuit (OSX 10.9 or later, 64-bit).
MàJ 2020 Sip existe toujours et est disponible soit pour une dizaine d’euros/an, soit via Setapp.
Il est souvent agaçant de coller du texte dans un traitement de texte ( Word, Open Office, Page, rich text .rtf …) et de constater que ce texte garde son formatage (typographie, taille, graisse) plutôt que de prendre le style du texte d’arrivée.
Dans la plupart des logiciels de texte, dans le menu édition se trouve la fonction Coller sans style*, accessible par le raccourci clavier alt + shift + cmd + V (Page, Text edit…, ou shift + cmd + V (Evernote…), Cela ouvrant parfois une fenêtre demandant le type de collage que l’on désire : texte non formaté (Word, Open office…), Ou pas de raccourci clavier du tout. 🙁
Les raccourcis clavier à 3 ou 4 doigts étant bien longs, leur absence obligeant à de longs déplacements de curseur, le raccourci cmd + V étant le deuxième raccourci le plus évident de la saisie par clavier (après cmd + C ;), il est fort dommage de ne pouvoir l’utiliser sans surprise dans un traitement de texte mis en forme.
Pour remédier à cela il existe plusieurs solutions :
La solution Terminal :
Taper dans le terminal *:
defaults write .GlobalPreferences -dict-add NSUserKeyEquivalents "Paste and Match Style" -string "@v"
a pour effet de supprimer le style du texte copié : au collage le texte prendra le style du document d’arrivée, exactement ce que nous cherchons à faire si vous avez suivi, Mais…
L’inconvénient de cette méthode est double :
1. Si on veut coller du texte avec le style de départ ça ne sera plus possible
2. Les images ou autres éléments à copier/coller ne seront plus pris en compte.
Une solution simple et pratique
réside dans l’utilisation de l’utilitaire FormatMatch(gratuit- 10.6.6), qui vient se loger dans la barre des menus et qui permet simplement d’activer, ou de désactiver le collage sans le style (dans la barre des menus ou grâce à un raccourci clavier que l’on aura pris soin de définir).
Indispensable !
*(Paste and match style, Coller et appliquer le style, Coller et adapter le style ou encore Collage spécial…)
* tiré de Mac 0S Hints